Chapitre 1~ Dernier Espoir
Je ne voulais pas assumer ma défaite, ma fin. Mon dernier moment de Gloire. Dans quelques heures moi ou Edmond ou un du district douze ne vivrons plus ici. C’était une nouvelle fois la Moisson, comme chaque année d’ailleurs. Depuis quatre-vingt-dix-neuf ans exactement. Le jour de la Moisson, le Capitole, les plus riches de Panem qui nous dirigent strictement, regroupait tous les enfants de tous les districts. Une personne dans chaque district, on les appelle les animateur, qui viennent du Capitole viendront piocher plusieurs noms dans deux boule de Cristal. L’Animateur piochera une femelle et un mâle. La nôtre s’appelait Jodie McLageme une ancienne française. Comme toutes les personnes du Capitole elle a un gout prononcé pour la mode. Quand je dis prononcé, c’est que ce n’est pas normal. Elle à la peau tatoué de toute les couleurs et fan d’un bleu vif avec des chapeaux, un peu… Original ? Et puis son accent du Capitole, horrible. Ce qui n’arrange pas les choses puisqu’elle a un fort accent français. Donc les deux personnes choisis, seront habillé, coiffé, décrasser… Pour s’entretuer plus tard dans une arène ou ils seront 24 enfants. Les carrières, c’est-à-dire le district un deux et quatre, sont entrainée depuis jeune pour tuer. Ils arrivent même à se porter volontaires. Franchement, qui se porte volontaire pour mourir ? Ils ont autres choses qu’un cerveau, croyez moi. Fou et Vicieux est le créateur. Président Snow, mort de vieillesse. Il donna la relève à son Fils Président Snow Junior Tout aussi sadique eux deux. Voilà les jeux ; voilà à quoi on est confronté chaque année ! C’est les Hunger Games, les Jeux de la Faim. Je m’appelle Barry Whitney, je suis l’ainé de deux frère et une sœur. Ma mère est morte, mon père est mineur, presque jamais là. Je suis boulanger comme mon frère. J’ai grandis trop vite. J’ai 16 ans. Et ça fait 4 ans que j’échappe au tirage.
La panique montait évidemment. Je sais que c’est idiot, mais j’ai peur chaque année. Je cherche impérativement mon frère et sa chaleur. Il est plus jeune que moi, des cheveux châtains et des yeux tirant sur le doré. Il avait plutôt une allure frêle. Je l’aperçois enfin endormis à côté de moi. Il parait si jeune, si innocent. Son visage était recouvert d’une fiche couche de farine. Il aurait pu être mignon s’il n’y avait pas sa blessure qui défigurait son beau visage fière. Béante, pleine de pu, incicatrisable, moche à voir. Je me lève du lit, et me dirige vers le lit des jumeaux. Un gars et une fille. Tous les deux promu pour les jeux dans 6 ans. Les cheveux châtains aux yeux vitreux grisonnant. Je me déplace vers le premier miroir que je croise. Je touche mes traits fin d’un œil agar. Je parcours mon visage en entier suivant finement les traits. J’étais l’ainé. Et on aurait dit que j’avais 20 ans. Je possédais des yeux bleu mystérieux, ce qui est plutôt rare par ici, et des cheveux tirants sur le blond. C’est drôle comme j’étais la réplique de mon père. J’enfile une belle chemise qui appartient à mon père. Enfin trop petite pour lui à présent. Et un pantalon souple. Ce qui es drôle c’est que le Jour de la Moisson on devait se faire beau. Pour tuer plus tard. L’ironie du sort. Vous ne croyez pas ?
-Le district 12, on y vit tranquillement affamé. Répliquais-je.
Je réalise bientôt qu’on était le seul jour ou mon père restait à la maison. Jour férié. A ces heures-là il était généralement réveillé. Je jette un coup d’œil à son lit. Vide. D’un pas pressé je me dirige vers la cuisine. Mon père y était, adossé à la table buvant quelque chose de chaud. Il me jette un coup d’œil bref pour retourner à ses occupations. Même pas un bonjour, rien. Je m’assois à côté de lui me préparant une miche de pain aux noix que j’ai faites hier avec du fromage. Puis ensuite je mange des fraises qui éclataient sur ma langue. Délicieux. On ne se parlait pas, mais on se regardait tous les deux. Il me tend sa main, un truc carré était dedans. Je le prends attentivement. Je découvre alors un collier doré avec des photos de familles dedans. Y’as même ma mère dessus. Je me mords les lèvres. Cette chose à du couter une fortune.
-Pour l’ainé de mes fils. Puis d’une voix avec un accent fort il continua. Joyeux Hunger Games ! explique-t-il.
Tiens il me parle. Je bois ses mots. Pour m’en rappeler toujours. On s’aimait invisiblement. On s’aimait sans mots, sans sourire. C’était naturel. Ça ne m’échappe pas, un loup était dessiner dessus. Je murmure un faible merci. Qui voulait en dire gros.