L'amour est une belle chose, encore faut-il avoir le courage de l'avouer. | Ft Night.

UNE BELLE

RENCONTRE

Ce jour là, Foudre était assez stressé. Le chef était assez absent ces jours ci et la Meute se divisait presque. Certains disaient qu'il fallait élire un nouveau chef, d'autres encore en venaient à penser que leur chef avait rejoint la Tribu des Bannis. Foudre, lui, était d'avis partagé, comme toujours.
Le jeune chasseur avait décidé de prendre l'air, loin de la Meute.
Ses pas l'avaient conduit à la rivière, endroit qu'il apprécierait beaucoup.
Il se pencha au dessus de l'eau. Un poisson y passait justement; il essaya maladroitement de l'attraper mais en un rapide coup de queue, le poisson esquiva les pattes pataudes de Foudre. Celui-ci grommela, frustré.
Même les chats arriveraient mieux que moi a attraper du poisson !
Il se souvint soudain que sa mère lui avait raconté que l'un des quatre groupes de chats qui vivaient non loin de la savait pêcher.
Je pourrais leur demander...
Le jeune mâle secoua la tête.
Qu'est-ce que je crois ? Nous ne parlons même pas la même langue ! En plus, les chats n'ont pas l'air très intelligents. Pas comme nous. Enfin... Qui sait ? Peut être vivent-ils organisés comme nous, avec un chef et une hiérarchie bien déterminée ?
Foudre tenta de penser à autre chose et s'engouffra dans le bois qui bordait la rivière, suivant distraitement la piste d'un jeune cerf qui était passé par la il y a peu de temps, sûrement une ou deux heures.
Soudain, il dressa ses oreilles brunes et duveteuses. Là-bas, un bruissement...
Le jeune loup s'approcha en faisant le moins de bruit possible. Était-ce le cerf qu'il avait flairé ?
Non, cette fourrure était blanche, et pas totalement inconnue...

Je me leva à l'aube se matin là, personne de réveillé, personne pour me regarder partir enfin ! Moi qui n'avait pas l'habitude de sortir comme une voleuse mais il le fallait ! Sinon tous le monde m'envoyais des regards colériques ou de pitié, je n'en avais pas besoin ! je partis vers la forêt près de la rivière qui nous séparer des clans, la solitude voilà se seule compagnie, certes il y avait aussi certains chats mais pas de loups ! Je sentis alors un piste d'un cerf, je marcha en suivant la piste le plus discrètement possible, mais quand j'arriva la cerf était déjà mort ! A non tout mais pas çà quelqu'un avait chassez sur notre territoire! D'un coup je sentais une présence derrière moi. Ce n'était pas un chat il n'avait pas notre pas léger, ni un puma, pas assez silencieux, c'était donc un loup ....
Je me tourna et vit un pelage que je connaissait celui d'un de sa meute nommé Foudre, je lui demanda alors:

"- Que fais-tu ici ?"

Foudre c'était un très beau loup un très beau mâle, mais jamais il ne s'intéresserais a une louve comme moi, et moi même si je m'intéressais a tout le monde je ne le montrer pas mais, à lui un peu plus qu'au autre.

(Night, essaye de rester à la même personne ;3)

UNE BELLE

RENCONTRE

Que fais tu ici ?

Foudre sourit et baissa la tête.

J'essayais de pêcher. Mais, comme tu le vois... Hum... Je ne suis pas très doué. Je pense que je vais me contenter aux lièvres et aux ongulés.

Il s'avança alors, car il avait senti une odeur. Une odeur de cerf. Il fit quelques pas, et tomba sur une dépouille, apparemment fraîchement tuée.
Il se retourna vers Night et s'apprêta à demander si c'était elle qui l'avait tué, mais il se ravisa car il avait senti une autre odeur. C'était donc un autre loup qui l'avait tué puis l'avait laissé ici en attendant de le manger. Foudre ne voyait pas qui pouvait être ce loup, car il fallait être drôlement fort pour abattre un cerf tout seul.
Le jeune loup se tourna vers Night et, la queue frétillante, il demanda:

Ça te dit d'aller en attraper un, tous les deux ?

( a oui oups désolé )
Ça te dit d'aller en attraper un, tous les deux ?
Foudre balançait sa queue, il avait l'air joyeux il voulait chassez avec moi ? Pourquoi ? Il aimait parler avec moi et voulait vraiment chassez apparemment, hésitante au début, je ne savais pas si je devais accepté ou non. Je fini par hochais la tête avec un sourire hésitant. Je parti devant avançant en silence vers une odeur de cerf toute fraîche, regardant derrière moi pour être sur que Foudre me suivait, en le regardant je ne pu m'empêcher de rougir bêtement, je me tourna en vitesse puis repéra le cerf, je me cacha dans les fourrés attendant une réaction de la part du jeune loup près de moi.

(Night, essaye de rester à la même personne ;3)

UNE BELLE

RENCONTRE

Night ne répondit pas mais était visiblement d'accord, car elle hocha la tête en souriant. Elle repéra rapidement un jeune cerf qui broutait paisiblement sans prêter attention aux deux loups. Attendant le signal de Foudre, elle se cacha dans les fourrés.
Foudre fit le tour de la bête en faisant bien attention de rester caché dans les hautes herbes et de rester face au vent.
Lorsqu'il fut en face de Night, de l'autre côté du cerf, celui ci détecta l'odeur du jeune loup. Mais tout cela était dans le plan de Foudre.
Affolé, l'ongulé releva la tête et fonça devant lui... Droit sur le fourré ou était caché Night. Foudre se leva sur ses pattes arrières et cria:

Saute lui dessus, Night !

Mais Foudre devina que son plan n'allait peut être pas fonctionner comme il l'avait prévu: Night était rapide, mais pas très forte. Elle ne réussirait sûrement pas a abattre le cerf toute seule.
Foudre se lança à la poursuite de sa proie et sauta sur ses épaules. Chevauchant cette monture assez particulière, il planta ses griffes dans les épaules du cerf pour se maintenir en équilibre et enfonça ses crocs dans la nuque de herbivore.

(Encore ? Je fais pas exprès en plus x))

Saute lui dessus, Night !

Je n'était pas assez forte pour tuer une telle bête toute seule, il du s'en rendre compte car il sauta sur la bête et lui enfonça ses griffes et ses crocs dans sa nuque, voyant l'herbivore commencer a paniquer et partir dans tout les sens je sortis des fourrés et lui tourna autour a toute vitesse de sorte qu'il reste en place au milieu du cercle que je former en courant.

"-Tue le Foudre !" Lui criais-je

Ce loup m'impressionné il n'avait peur de rien, du moins du point de vue ou je le voyais

UNE BELLE

RENCONTRE

Tue le, Foudre !

La voix de Night redonna des forces au jeune loup. Il enfonca plus profondément encore ses crocs dans la chair du petit cerf. Celui ci perdait beaucoup de sang, et finit par s'écrouler par terre. Foudre sauta juste à temps pour ne pas finir écrasé.
Il s'approcha de la carcasse de l'animal et ferma les yeux un instant, remerciant silencieusement la Meute des Esprits.
Puis il invita Night à s'approcher, avant de planter ses crocs dans la cuisse de l'animal.

S'il en reste encore après notre repas, on en ramènera à la meute. Mais j'en doute, car c'est presque encore un faon tellement il est jeune et petit. Il ne remplira l'estomac qu'à nous deux. Au fait, beau travail ! On forme une super équipe.

S'il en reste encore après notre repas, on en ramènera à la meute. Mais j'en doute, car c'est presque encore un faon tellement il est jeune et petit. Il ne remplira l'estomac qu'à nous deux. Au fait, beau travail ! On forme une super équipe.

Je souris au jeune loup, mais malgré se sourire je n'avais pas faim. Je m'approcha donc et pris deux a trois petites bouché du faon, et m'éloigna un peu de la bête en disant a Foudre:

"- Je donne ma part a la meute !"

Je leva la tête vers les nuages il faisait froid j'eu un frisson de froid mais ne laissa rien paraître, regardant toujours les nuages, pourtant il y avait un beau ciel bleu aujourd'hui, je regarda Foudre gentiment puis me tourna vers la forêt.

Une belle rencontre

Night s'approcha du faon et en pris quelques bouchées, puis elle recula en annoncant qu'elle donnait sa part à la meute. Étonné, Foudre répondit doucement:

- Comme tu voudra.

Il termina tranquillement son repas. Il restait un gros morceau de viande, qui pourrait nourrir deux ou trois loups. Mais Foudre préféra le laisser là et se reposer un instant avant de le ramener près des tanières.
Il s'allongea sur le dos et contempla le ciel. Malgré la fraicheur de l'air, le soleil brillait et était de temps en temps couvert par quelques nuages.
Soudain, Foudre leva la patte vers l'un des nuages.

- Regarde, celui là ressemble à un loup...

Le nuage en question était d'un blanc immaculé.
Il ressemble à Night, songea Foudre.
Le subalterne releva la tête vers la louve qui, comme lui, contemplait le ciel. Il lui adressa un sourire gêné et mumura:

- Night...

Il finissait de manger peu a peu, quand il vint se poster près de moi en me montrant un nuage ressemblant a un loup je le regardais gentiment avec un sourire au lèvre, c'est vrai ce nuage ressemblait a un loup un grand loup blanc. Je regardais ensuite Foudre quand il dit:

- Night...

Je le regardais toujours d'un air inquiète, il avait l'air gêné, je pencha la tête sur le côté et demandais:

"- Foudre ? "

Que voulait-il me dire que voulait-il dire de si gênant ? C'est ce que je me demandais ! Je me levais et me plaçais face a lui les yeux dans les yeux a quelques centimètre de son museau.

Foudre regardait ses pattes, plus gêné que jamais. Night se pencha vers lui et murmura d'un air inquiet:

- Foudre ?

Le loup grommela légèrement. Comment lui avouer ? Voilà longtemps qu'il voulait lue lui dire, mais jamais il n'avait trouvé le bon moment. Et aujourd'hui, dans ce moment de complicité, il était persuadé que c'était l'occasion.
Il tenta de constituer une phrase dans sa tête. Mais il ne trouvait rien a dire; ces sentiments là ne s'expriment pas si facilement. Pour finir, il bafouilla:

- Night, ce que j'essaye de te dire depuis longtemps, c'est que... Euh...

Foudre se maudit intérieurement.
Quel idiot ! Je dois paraître ridicule, c'est sur.
Le mâle baissa un peu la tête et finit par murmurer:

- Je dois t'avouer quelque chose, Night... Mais, c'est difficile, tu comprends...

Je regardais Foudre, il avait l'air si gêné, il voulait me dire quelque chose, mais il n'y arrive pas tout ce qu'il réussit à me dire après quelques minutes d'hésitation, c'est :

- Night, ce que j'essaye de te dire depuis longtemps, c'est que... Euh...

Je le regardais intensément puis me grattai l'oreille ça du le gêné encore plus puis il me dit à nouveau :

- Je dois t'avouer quelque chose, Night... Mais, c'est difficile, tu comprends...

Je crus comprendre ce qu'il voulait dire d'un coup, je me levais et colle mon museau dans son cou, m'asseyant près de lui, pelages contre pelages, je lui léchai la joue et lachais:

" Foudre, tu n'as pas à t'en faire, tu peux tout me dire sans être gêné, n'est pas de difficulté à me le dire !"

Le cœur battant mon museau à quelques centimètres du sien, j'émis un petit grognement de plaisir, je me sentais bien contre lui et n'avais pas envie que ce moment se termine, je posai ma patte gauche sur son dos et lui dis à nouveau dans son oreille :

" Je crois savoir ce que tu veux me dire ...... Alors si c'est ce que je pense sache que je me sens bien avec toi...."

C'était risqué de lui dire ça, si ce n'était pas ce qu'il voulait me dire, je paraîtrais surement pour une idiote tant pis pour une fois que je le disais a quelqu'un.

De plus en plus gêné, Foudre avait toujours le regard rivé sur ses pattes. Il entendit Night murmurer:

- Foudre, tu n'as pas à t'en faire, tu peux tout me dire sans être gêné, n'aie pas de difficulté à me le dire !

Lorsque la louve blanche lui lécha la joue, le jeune mâle frémit de plaisir. C'était si bon, de la sentir contre elle...

Foudre sentit la patte de Night se poser doucement sur son dos, tandis que la subalterne au pelage clair murmurait à nouveau:

- Je crois savoir ce que tu veux me dire... Alors si c'est ce que je pense, sache que je me sens bien avec toi.

Le coeur du mâle gris fit un bon dans sa poitrine. Il plongea son regard jaune-ambré dans celui de Night et lâcha d'une voix tremblante:

- Cela fait si longtemps que je voulais te le dire, Night... Mais tu paraissais si distante, si solitaire, que je n'ai jamais osé.

Foudre colla timidement son museau à celui de Night, et se tut. Plus un mot ne sortait de sa gueule. Mais il n'avait pas besoin de phrases pour exprimer son amour, les sentiments et les simples gestes suffisaient.
Il scruta le regard de Night. Il espérait tant qu'elle partage ces mêmes sentiments...

Il frémissé, son regard se plongea dans le mien. Il avait la voix tremblante en me disant:

- Cela fait si longtemps que je voulais te le dire, Night... Mais tu paraissais si distante, si solitaire, que je n'ai jamais osé.

Il était si timide, mais cette timidité le rendait si beau. Mon cœur battit un peu plus fort, Je colla ma truffe dans son cou, quel endroit confortable pour se reposé qu'un pelage chaud. Je souriais, et ne pouvant m'empêché de répondre:

" J'étais si distante parce que jamais quelqu'un ne m'a approché ou même avouer quelques sentiments affectueux, jusqu'à aujourd'hui."

Je le regardé a mon tour dans les yeux, je colla mon museau au sien en fermant les yeux et ne bougea plus de cette position jusqu'à qu'il est une réaction.

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